78 générations du IIIème s. av. J.C. au XXème siècle,
plus de 30 000 personnes et près de 10 000 patronymes

une dizaine de pays européens, des milliers de professions, des rois et des bergères


Notre GEDCOM était téléchargeable depuis 10 ans sur Internet librement et sans mot de passe.
Depuis 30 ans (dont 20 avec l'informatique), à l'aide de nombreuses sources, fiables et reconnues (Registres Paroissiaux & Registres Notariés déposés aux Archives Départementales ou Municipales, Fonds des Archives Nationales, Papiers de Famille, Généalogies Imprimées - d’Hozier, Moreri, La Chesnaye-Desbois, Le Père Anselme, Le Chevalier de Courcelles, Saint-Allais, Bauchet-Filleau, André Navelle, O'Gilvy, Saint-Saud etc… -, Périodiques - Le Sang de Charlemagne de J. Saillot -, Armoriaux régionaux, Monographies locales, Etudes Historiques, Ouvrages Etrangers…) - recherches effectuées par tous les moyens (achat d'ouvrages et de monographies spécialisées, déplacements et consultations en archives ou en bibliothèques) - nous essayons de faire le travail le plus honnête et le plus sérieux possible, par recoupements et compilations. Il subsiste parfois des incertitudes chez les spécialistes, ou bien encore nous émettons des hypothèses en attente de mise à l'épreuve : nous l'indiquons toujours systématiquement et scrupuleusement (sur chaque fiche), lorsque le choix que nous avons dû faire est incertain ou provisoire.
Hélas, depuis autant d'années ou presque, nous avons été plagiés et pillés, et quelques indélicats ont même ouvert quasiment des "sites miroirs" pirates, dans lesquels leur base de données est essentiellement constituée de notre travail. D'autres en ont pris de grosses parts, certains en nous demandant l'autorisation et en faisant figurer l'origine de leurs emprunts, ce dont nous les remercions

Le phénomène s'est accéléré considérablement ces dernières années, à croire que certains pensent que faire sa généalogie c'est "pomper" exclusivement sur Internet ce que d'autres ont parfois eu de la peine à reconstituer à grands frais, sans jamais bouger le derrière de sa chaise et les yeux de son écran.

Vous voulez des preuves ? Sur le site de GENEANET (ou sur les bases HTML sur Internet), faites une requête sur le patronyme ANDREOTA, qui est le nom de mon oncle et parrain : vous trouverez 4 pages de résultats dont la quasi-totalité des 3 premières est constitué d'un vol jamais sollicité ni autorisé de notre propre base, et qui contrevient totalement aux termes de la loi française, laquelle interdit toute reproduction de données de moins de 100 ans ! Pire encore : au pillage s'ajoute la bêtise ou l'incompétence, car ce long cortège d'indélicats n'a absolument AUCUN lien de parenté avec les personnes en question !!! Et voir figurer sur le site d'un étranger total à la famille, le nom de quelqu'un de très proche, qu'on a bien connu, qu'on a aimé et dont on regrette l'absence, c'est un peu un viol de sa propre intimité. C'est très dur à "encaisser".

A l'origine, nous pensions naïvement que les valeurs fondatrices de partage, sur l'Internet des années 80, allaient de soi,

C'est pourquoi nous tenons aussi à souligner que certains aussi les ont partagées avec nous, qui continuent à nous faire part de leurs propres trouvailles, et qui nous permettent de compléter, de rectifier ou encore de proposer une autre hypothèse. Qu'ils soient tous ici très chaleureusement remerciés pour leur gentillesse et leur altruisme.

C'est pourquoi nous ne pouvons plus accepter qu'en 3 minutes ou presque, sans aucun effort, n'importe qui puisse aspirer 30.000 fiches et 30 ans de travail, même si ce travail est imparfait, rectifié dès que c'est possible, chaque mois, voire chaque semaine, et encore probablement truffé d'imperfections dont nous vous demandons de bien vouloir ne pas nous tenir rigueur. Elles proviennent, le plus souvent, de sources fautives ou inexactes dont nous ne sommes nullement responsables. Parfois aussi, il ne s'agit pas d'erreurs, mais de versions divergentes et qui sont aussi susceptibles d'évoluer, comme les modes...

Toutefois notre base reste totalement accessible en clair sur GENEANET et il vous est donc ainsi possible de compléter la vôtre en resaisissant chaque donnée qui vous manquerait : et si cela semble fastidieux à tel ou tel, qu'il se dise bien que l'on n'a rien sans rien et que c'est exactement ce que nous avons fait auparavant. Nous devons enfin ajouter que nous avons nous-mêmes emprunté des données à telle ou telle base librement accessible, comme la nôtre, sur GENEANET ou sur INTERNET, mais en respectant trois conditions que nous nous sommes fixées : 1. resaisir à chaque fois chaque fiche manuellement et vérifier si possible, 2. n'emprunter que des ancêtres communs et datant de plusieurs siècles 3. Faire figurer au moins une fois sur l'une des fiches, à chaque fois que nous y avons pensé, l'origine de la source première indiquée.

Bonnes recherches à tous.